“La vingt-septième écuyade du grand désert blanc au “pays de Merlin” fut une belle aventure. Au-delà de la beauté naturelle des paysages alpins qui suscitent sans coup férir le frisson esthétique chez les randonneurs. 
Il y eut plus … Une aurore fraternelle descendue sur la troupe des nouveaux pèlerins en marche, dont chaque pas arraché de la neige profonde concourrait à la fabrication d’une image commune : dans la tempête et les brumes l’Archer en filigrane semblait diriger la manœuvre et conduire le groupe à bon port. 

En les voyant revenir des Hauts j’avais cette pensée : 
Que l’Homme est beau quand une image l’habite 
et le grandit dans le cercle de l’UN.

On se donnait l’accolade puis on mangeait et le silence se mêlait aux rires 
et aux belles intentions.”
P-Y Albrecht.